HOMENAGE A LOUIS ARAGON; POR MICHEL SOLAL

MORT D´ARAGON

Le silence est tombé tristement sur la ville

Et des larmes ont coulées brulantes sur ma feuille

LOUIS ARAGON est mort, ho monde prend le deuil

Et garde au fond de toi sa trace indélébile

A peine n’est ‘ il plus que déjà vers sa tombe ,

S’extirpant de leur fange et rampant hors de l’ombre,

Des cloportes gluants se bousculent et se pressent ,

Les aspirant Boureaux,les émules de GOEBBELS ,

Les prêtres des ténèbres que les lumières blessent,

Tous ceux qui ont les yeux sillés de noirs bandeaux,

Tous les scotomisés ,d’honneur et du cerveau,

Tous tueurs de LORCAS ,au pied de son flambeau

Se font la « courte échelle » pour tenter de l’éteindre,

Vous pouvez vous hisser, jamais pauvres nabots

Suffisante grandeur vous n’aurez pour l’atteindre.

En le voyant défunt, vous le craignez encore

Celui qui vient d’entrer dans l’empire des mort ;

Alors vous projetez ,vos haleines fétides

Vers cette immense flamme qu’il fit naitre pour nous ,

Mais vous manque le souffle, et votre jet putride

Bien trop bas passe encore et ne souille que vous.

Trop vive est ma douleur pour que colère j’ai,

et le dégout de vous à mes lèvres qui monte,

Est si profond qu’il vous ferait crever de honte

Sil vous restait encore un brin de dignité

Chacals répugnants, déglutissez vos haines ;

Disparaissez vautours, fuyez, lâches corbeaux ,

Détrousseurs de mémoire,fletrisseurs de tombeaux ,

Laissez nous donc en paix épancher notre peine.

Le silence est tombé tristement sur la ville,

Le Poète repose au royaume « d’au-delà »

A l’ombre des grands arbres, familliers et tranquilles,

nous la dalle de pierre, où l’attendait….ELSA .

Michel Solal

TRADUCCION AL ESPAÑOL ( Se pierde la rima pero no la esencia)

MUERTE de ARAGÓN El silencio cayó tristemente sobre la ciudad Y de las lágrimas pasaron extremos sobre mi hoja LOUIS ARAGON se murió, Ho mundo toma el luto Y guardia en el fondo ti su rastro indeleble Apenas sólo está más `ya hacia su tumba, Extirpándose de su barro y rampante fuera de la sombra, Cloportes pegajosos se trastornan y se presienten, El candidato Boureaux, los emulados de GOEBBELS, Los sacerdotes de las oscuridad que las luces hieren, Todos los los que tienen los ojos Siles de negras vendas, Todos los scotomisés, de honor y el cerebro, Todos los asesinos de LORCAS, al pie de su antorcha Se hacen la “corta escala” para intentar apagarlo, Pueden alzarse, nunca pobres enanos Suficiente tamaño no tendrán para alcanzarlo. Al el ver a difunto, lo temen aún Aquél que acaba de entrar en el imperio de la muerte; Entonces proyectan, sus alientos fétidos Hacia esta inmensa llama que hizo nacer para nosotros, Pero les falta la respiración, y su chorro pútrido Bien demasiado bajo paso aún y sólo mancha ustedes. Demasiado viva es mi dolor para que cólera tenga, Y la aversión ustedes a mis labios que sube, Es tan profundo que les haría estallar de vergüenza Sil ustedes permanecía aún, un poco de dignidad Chacales que repugnan, tragan sus odios; Desaparezca buitres, huye, liberaron de cuervos, Salteador de caminos de memoria, fletrisseur de tumbas, Nos déje nos pues en paz épancher nuestro dolor. El silencio cayó tristemente sobre la ciudad, El Poeta descansa al reino “de más allá” A la sombra de los grandes árboles, familiares y tranquilos, Bajo la losa de piedra, donde lo esperaba….ELSA Poesía de MICHEL